L’AFFAIRE AL DURA OU LE REGNE DES INCOMPETENTS

Publié le par Eli d'Ashdod

Depuis 10 ans que dure cette affaire, on est en droit de se demander comment « un bidonnage » de cette sorte a-t-il pu perdurer aussi longtemps.

 

Un rappel des faits : Le 30 septembre 2000 à 15 heures une fusillade éclate au carrefour de Netsarim dans la Bande de Gaza entre les forces Israéliennes et des assaillants arabes. De nombreux acteurs ont été engagés afin de mettre en scène « l’assassinat en direct d’un enfant, et les blessures graves de son père ».

 

Que voit-on sur les 27 minutes de rushes qu’il a fallu attendre plus de huit ans, recoupés par ceux de la télévision allemande conviée pour l’occasion : des gens s’agitent autour d’une jeep, un coup de feu éclate, et un homme touché dans le dos (qui aurait du être projeté en avant) fait un bond en arrière en se tenant la jambe droite. Moins de 2 secondes après une ambulance arrive et embarque le « blessé ». L’ambulance se tenait prête moteur en marche, vitesse enclenchée et a démarré au coup de feu.

 

Juste à coté, derrière un bidon un homme et un enfant ( Mohamed Al Dura et son père) se mettent à l’abri d’un feu nourri qui dure 45 minutes, les israéliens sont à 8O m, à un angle de 30°, il suffit de 2 balles à un militaire entrainé pour éliminer une personne avec son fusil à lunette.

 

Le père déclare par la suite qu’il a été atteint de 9 balles, à la jambe, au bras et au torse, les balles sont ressorties. Son fils est touché par une balle à la jambe droite puis par deux autres, toutes les balles sont ressorties de l’autre côté, le père déclare alors que son fils est mort.

 

Aucune trace de sang n’est visible ni sur le mur ni sur les vêtements des deux acteurs. Sur le mur on peut voir tout autour du père 8 impacts de balles de trous bien ronds, si les balles sont tirées par les israéliens, l’impact doit être ovale en fonction de leur position. Comme le feu nourri a duré 45 minutes, il ne devrait plus rien rester du mur.

 

15H15 une ambulance arrive à l’hôpital, dépose le père et le fils. Par la suite le médecin ayant pratiqué l’autopsie fournit les photos de l’enfant atteint d’une balle à l’œil droit. L’enterrement a lieu à 17 heures auquel assiste une foule immense de plus de 1000 personnes. Comment ont-il pu être avertis si la fin de l’autopsie est à 18 heures ?

 

Après enquête, le médecin déclare que les deux personnes sont arrivées à l’hôpital à 10 heures soit 5 heures avant le premier coup de feu. Le père reçu a ce moment là est plutôt gros.

 

Les blessures infligées au père de Mohamed Al Dura sont plus anciennes et sont le fait de coups de couteau et de hache antérieurs de 2 ans à la scène, le père avait subit une raclée en règle, accusé de communiquer des informations aux israéliens, il avait été soigné dans un hôpital en Israël, une greffe de ses tendons du pied avait été effectuée avec succès à son bras droit, et laissait une cicatrice déplus de 15 centimètres de long sur 6 de large. Le père est mince.

 

On voit donc que profitant du décès d’un enfant, et des blessures de son père, une mise en scène a été filmée d’un pseudo assassinat et qu’il y a deux pères avec deux enfants.

 

http://video.google.com/videoplay?docid=9146802551972572272

 

Cette opération médiatique a été filmée par un cameraman free lance Talal Abou RAHMA qui propose dans un premier temps son reportage à une chaîne américaine, conformément à la charte d’un bon journaliste, cette dernière demande des preuves de la mort de l’enfant, que le cameraman ne fournit pas, la chaîne américaine refuse de produire le film sur ses antennes.

 

Le reportage est alors proposé à Charles ENDERLIN très connu pour son engagement anti-israélien qui l’aveugle à tel point qu’il accepte sans vérifier, on voit à quel point cette personne est peu digne de détenir une carte de journaliste, non content de ne pas vérifier, celui-ci fait effectuer des coupures en vue d’un montage et commente le sujet « assassinant » au passage l’armée israélienne.

 

Lorsque le pot aux roses est découvert, au lieu de reporter la faute sur son cameraman, Enderlin persiste et signe. Il faut savoir que celui-ci a su tresser un réseau d’amitiés dans le monde entier, et qu’il bénéficie de l’appui des plus grands tant en France qu’en Israël.

 

Lorsque Daniel SHEK prend son poste d’Ambassadeur d’Israël à Paris, Philippe KARSENTY en tant que premier adjoint au maire  à la mairie de Neuilly se présente à lui, Daniel SHEK qui est un ami intime de Charles ENDERLIN refuse de lui serrer la main, Philippe KARSENTY est considéré comme un homme non fréquentable.

 

L’année dernière, Charles ENDERLIN se voit remettre la légion d’honneur par le Ministre des Affaires Etrangères, Lorsque Philippe KARSENTY s’en émeut, on lui rétorque, mais il travaille pour nous depuis 20 ans!!!

 

A quel titre travaille t-on pour les Affaires Etrangères ? Serait-il une barbouze ? Serait-il le grand conseiller du Quai d’Orsay pour Israël ? Mais nous n’avons que faire de gens de son espèce, et surtout pas pour désinformer sur notre cher pays.

 

Que ce monsieur sache que le temps est révolu où il faisait la pluie et le beau temps car une nouvelle génération vient de se lever pour bouter dehors tous les malfaisants de son espèce.

 

Voici quelques affaires qui découlent de ce bidonnage :

 

12 Octobre 2000 trois soldats de Tsahal sont défenestrés à Ramallah.

 

Ben Laden commence à recruter.

 

11 Septembre 2000 attentat des Twin Towers. A New York 2750 victimes.

 

30 Janvier 2002 assassinat de Daniel Pearl au Pakistan.

 

C’est pour ces raisons sans doute de Charles ENDERLIN a été décoré.

 

Eli d’Ashdod

Publié dans Israël

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