Histoire du morcellement de la Palestine

Publié le par Eli d'Ashdod

Goebbels disait: Plus c'est gros, plus ça a de chances de passer, de toutes façons, il en restera toujours quelque chose.

 

Cette façon de faire est digne des nazislamistes que sont ces squatters de notre beau pays qui nous empoisonnent l'existence depuis 1948.

 

Et qu'une anomalie de l'histoire concoctée par des biens pensants, lors des accords d'Oslo, a nommés "Palestiniens" terme qui nous définissait depuis l'an 135 du calendrier grégorien, grâce à l'amabilité de l'Empereur Hadrien qui débaptisa le Royaume de Judah devenu Province Romaine de Judée en Syria Palaestina.

 

Dans les années 1950 malgré le renouveau de l'Etat d'Israël, il était fréquent pour nous de dire, monter en Palestine au lieu de monter en Israël.

 

Les dignes descendants de Goebbels, les nazislamistes se sont emparés de ce terme nous définissant pour revendiquer la terre que nous ont léguée nos ancêtres, et qui s'étendait en 1915 sur l'actuel Israël, une partie du Liban (Dan), une partie de la Syrie, une partie de l'Irak, toute la Jordanie, tout le Sinaï.

 

Les accords Sykes-Picot du 16 Mai 1916 ont morcelé toute cette région en cinq zones sous influence soit française, soit anglaise, soit française avec droit de regard des anglais, soit anglaise avec droit de regard des français.

 

Les intérêts des deux puissances viennent en contradiction avec la déclaration Balfour du 2 novembre 1917 une lettre dont ci-dessous le fac-similé:

 

    « Cher Lord Rothschild,

 

    J'ai le plaisir de vous adresser, au nom du gouvernement de Sa Majesté, la déclaration ci-dessous de sympathie à l'adresse des aspirations sionistes, déclaration soumise au cabinet et approuvée par lui.

 

    Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civiques et religieux des collectivités non juives existant en Palestine, ni aux droits et au statut politique dont les Juifs jouissent dans tout autre pays.

 

 

    Je vous serais reconnaissant de bien vouloir porter cette déclaration à la connaissance de la Fédération sioniste.

 

    Arthur James Balfour »

 

Lors de la Conférence de San Rémo, l'article 22 de la SDN Société Des Nations d'avril 1919 met fin aux accords Sykes-Picot.

 

La région entière est placée sous le régime des Mandats, et les populations sous la tutelle des Français et des Anglais selon leur zone d'influence en attente de leur émancipation.

 

Les arabes à qui on avait promis l'indépendance entrent en effervescence ce sont des soulèvements incessants qui mettent la région en ébullition. 

 

Les Anglais reviendront en arrière empêtrés dans une politique pétrolière émergente, ils créeront le Royaume Hachémite de Transjordanie le 25 mai 1946. C'est de facto la partition de la Palestine dont 72% sont offert aux 400.000 arabes y résidant au grand dam de la Fédération Sioniste de Grande Bretagne et d'Irlande.

 

L’assemblée Générale de l’ONU adopte la résolution 181 au prix de trois votes successifs le partage des 28% restant entre un Etat arabe, et un Etat juif. Les arabes refusent.

 

Il faut savoir que seules les décisions du Conseil de sécurité de l’ONU sont contraignantes, le vote de l’Assemblée générale est consultatif. Les arabes ayant refusé, la résolution n’a aucune force de loi. Tous ceux qui s ‘appuient sur cette résolution sont des faussaires de l’histoire.

 

Dès le lendemain de la déclaration d’Indépendance d’Israël le 14 mai 1948, 7 armées arabes veulent jeter les juifs à la mer. C’est la première guerre israélo-arabe les hostilité cessent par le dernier accord de cessez-le-feu de juillet 1949. Cet accord stipule qu’en aucun cas les limites de ce cessez-le-feu ne peuvent présumer des frontières d’un Etat. Ceux qui parlent des frontières de 1949 sont des faussaires de l’histoire.

 

La Jordanie qui refuse un autre Etat arabe a envahi une partie de la Judée, une partie de la Samarie qu’elle dénomme Cisjordanie, qu’elle annexera par la suite, ainsi que Jérusalem-Est dont elle expulse tous les juifs et brûle 53 synagogues.

 

Tout cet ensemble sera repris lors de la guerre de 1967 déclenchée par les arabes qui perdent donc tous ces territoires au profit d’Israël. (Ce sont les lois de la guerre qui définissent ceci). Ceux qui parlent de territoires occupés sont des faussaires de l’histoire.

 

Les accords d’Oslo ayant été rompus par l’initiative de Abou MAZEN de demander à l’ONU la reconnaissance d’un « Etat Palestinien » sans le préalable de négociations avec Israël.

Ces accords devenus caducs, nous sommes revenus à la case départ à l’issue de la guerre des six jours de 1967. Les discussions avec les arabes n’existant plus à l’initiative de Abou MAZEN qui ne s’est assis à la table des négociations que quelques jours depuis l’élection de Benyamin Netanyahou.

 

Le dit Abou MAZEN accumulant les déclarations belliqueuses à notre égard, par ses thèses négationnistes, racistes, xénophobes, ne peut être un partenaire pour des négociations ayant une chance d’aboutir un jour.

 

Eli d'Ashdod

Publié dans Israël

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